Publié : 10 juin 2020 à 7h20 par La rédaction

Le pistolet à impulsion électrique va remplacer la technique d’étranglement pour la police

MONA FM
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Petite explication sur cette arme qui va remplacer à terme la technique de l'étranglement, une technique que l'on apprend à l'ecole de police et qui peut poser des soucis si elle est mal maitrisé et devenir une technique qui tue, comme on a pu le voir en France et aussi dans d'autres pays.

Mais le pistolet électrique peut aussi avoir des défauts si la personne a des problèmes cardiaques ou si l'on vise dans un endroit comme la tête.

Mais avec l'affaire Flyod, il fallait trouver une solution pour éviter que la situation se dégrade pour la police surtout que l'affaire Adama Traoré est en train de changer la donne et le gouvernment ne veut pas des débordements comme aux Etats-Unis.

Le pistolet à impulsion électrique est une arme d’une portée maximale de 7,60 mètres qui propulse deux électrodes (à la vitesse de 50 mètres par seconde) reliées à deux filins isolés.

Au contact de sa cible, le pistolet libère une décharge de 2 milliampères pour 50 000 volts. Cette onde électrique bloque le système nerveux. Le pistolet envoie alors un signal appelé « ondes Taser », qui bloque les signaux normaux des fibres nerveuses.

Selon l'inventeur, l'idée était de neutraliser un individu dangereux à bord d'un avion, sans utiliser des armes classiques. En reprenant les chiffres fournis par Taser, il est délivré 0,07 J par décharge, et les piles sont vides au bout d’environ 20 000 impulsions, soit moins de 17 minutes d’usage.

Cette arme est conçue pour bloquer le système nerveux central, officiellement sans effets à long terme, afin d’immobiliser brièvement la personne touchée de façon que les policiers puissent intervenir et procéder à son arrestation. On parle aussi de paralysie momentanée.

Le cycle de 5 secondes automatique (durée totale de la décharge) est un cycle technique mais aussi physiologique puisqu’il permet de faire passer un individu en manque (de drogue) de l'état de démence à un état totalement déstressé, selon les récentes études des professeurs Theresa et Vincent di Mario4.